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Par Julie Peh
De la tristesse face à la perte de vies innocentes aux demandes d’une action politique plus forte, leurs messages reflètent une inquiétude généralisée face à cette crise humanitaire. Qualifiant les massacres israéliens de dizaines de milliers de Palestiniens à Gaza de “génocide massif”, Emaraa Milhomme, 21 ans, a déclaré à Anadolu ce qui suit: “Je pense qu’il faut changer la façon dont les États-Unis interfèrent avec tout ce qui se passe à Gaza”.
“Beaucoup de personnes ont perdu la vie, beaucoup d’enfants, de femmes et d’hommes, et je pense que cela doit prendre fin”, a ajouté Milhomme.
Bien qu’elle ait indiqué que l’administration Biden “en faisait assez” pour parvenir à un accord de cessez-le-feu dans l’enclave assiégée, Milhomme a critiqué les États-Unis qui continue d’envoyer des armes à Israël, qualifiant cela d’effrayant. Greg Schneider, 42 ans, a déclaré à Anadolu que ce qui s’est passé le 7 octobre et ce qui se passe en ce moment est “incroyablement triste”.
“Cela me fait mal qu’il y ait tant de souffrances, à la fois en Israël et à Gaza, et je compatis avec les deux camp, avec les innocents et les civils et les personnes qui essaient juste de vivre. Cela me fait mal au cœur”, a souligné Schneider.
Souhaitant que l’administration de Joe Biden “en fasse plus” pour parvenir à un accord à Gaza, il a fait savoir qu’il s’agissait d’une question “très compliquée” et qu’elle ne serait pas facile à résoudre.
